Premières expériences et engrenages : Chapitre 65 : Au cul de basse-fosse

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il y a 1 an

Chapitre 65 : Au cul de basse-fosse

Dès le début, je sentis que je n’avais plus affaire à mon meilleur ami, intimidé qui ne recherchait qu’une fellation amoureuse. Il s’agissait de deux hommes plus expérimentés qui ne voyaient en moi que de la chair fraiche pour les satisfaire d’un besoin élémentaire.

Il n’y avait plus la douceur qu’avait mise Vincent, que je ne décelais que maintenant qu’elle était absente, cachée par la honte, la peur et le dégoût qui saturaient mes sens depuis que j’avais compris ce qui allait m’arriver.

Pourtant, je protestais à peine. Je laissai aller mon esprit vagabonder sur les prairies de mon imagination. J’omettais cet instant de mon esprit, comme lui demandant de couper l’enregistrement de ce qui allait suivre, jusqu’à ce que ce soit fini. Ou, si je ne pouvais pas, l’enregistrer dans le cerveau pervers et féminisé de Lassie qui appréciait follement ce qui m’arrivait. Cette part de moi que je refusais de reconnaître malgré le plaisir que je pris à tenir la queue de Vincent dans ma bouche. C’était Lassie, me convainquis-je, qui trouvait du désir, de l’envie et du plaisir.

Le sexe du serviteur roux s’enfonçait profondément dans ma bouche, rebondissant sur le fond de mon palais. Il cherchait à l’incliner plus bas, tentant d’atteindre le fond de ma gorge. Une envie de vomir se manifesta tandis qu’avec ma langue je plaquais au maximum sa verge vers le haut. Celle-ci poursuivit néanmoins sa route, profitant de la concavité de mon antre buccale pour progresser. Il frottait son gland avec plaisir entre la rugosité de mon palais et les aspérités de ma langue, à tel point qu’il m’en irritait la bouche.

Un goût différent, plus salé, me vint au gosier. Ça y était ! Après les saveurs des femmes, je comparais maintenant celles des bites. Mon dieu, dans quoi ces dominatrices m’avaient-elles entrainée, avaient entrainé Lassie ?

Nathan sortit ses doigts de mon anus. Je savais ce qui m’attendait. Le valet derrière moi était noir. Devait-on croire ce qu’on disait sur la taille de leur sexe ? Était-ce une légende, un lobbying commercial, un slogan du comité des îles, leur assurant plus d’opportunités avec les femmes continentales ? Mon anus se refermait de crainte. Tous mon corps se contractait dans l’attente.

  • Ne t’impatiente pas ! me dit Ladyscar. On est en train de lui mettre un préservatif. Il ne faudrait pas que les épices le brûlent, alors que je me trémoussai des fesses, plus inquiet qu’impatient.

J’appris par la suite qu’elle m’avait dit cela pour que je me rassure. Le mot important de cette phrase était préservatif. Elle pensait que je m’inquiéterai des conséquences, des risques de transmission de maladie. Si elle savait que, vierge, mon inquiétude était bien loin d’être à si long terme. Non. Cette honte qui m’apparaissait évidente, mais que Lassie prônait elle, revendiquait, alléguait, était d’avoir glissé en quelques dizaines de minutes dans l’homosexualité.

Me doutais-je que cela finirait ainsi ? Oui, me répondit ma conscience, alors que je sentis la bite du second valet me pénétrer, plus doucement que je ne me l’étais imaginé, beaucoup moins douloureuse que le strap-on connu la veille. Soit cela venait d’une certaine habitude qui ne me rassurait pas, soit Nathan avait bien effectué son travail de lubrification, malgré le matériel choisi à cet effet. Je ne sentais aucune douleur, aucune pression excessive, inconsidérée, aucun tiraillement. Je ne le sentais pas plus que le plug de Lady Christine.

J’imaginais même que, ne voyant rien et au vu de mes objections, elles n’avaient finalement pas osé me faire pénétrer par un homme, et que ce fut l’une d’elle qui, avec son strap-on, exerçait ces va-et-vient. Malheureusement, je les voyais toutes par alternance, même Lisa qui ne me quittait pas du regard, ravie de mes tourments. Elle m’envoya même un baiser, le poussant de son souffle.

Le roux avait arrêté de me défoncer la bouche pour le plaisir de me l’enfoncer et procédait avec plus de régularité. Je me relâchais, serrant instinctivement plus la bouche, offrant plus de sensation à mon homme, me soufflait la voix de Lassie. Je me voyais, de plus en plus, comme une salope satisfaisant deux mecs inconnus, une moins que rien, une poupée de latex, deux trous à sperme… Toutes ces insultes que Maîtresse Diane, Lady Christine, et parfois Tata Marguerite, proféraient, m’abreuvaient avec une cadence proche des coups de boutoirs de ces deux verges qui s’étaient phasés.

L’un rentrait pendant que l’autre ressortait. Mon corps se déplaçait sur la table avec ce rythme. Plutôt, il se contractait, mon ventre s’étant collé avec la transpiration sur la face supérieure du meuble. Les mouvements déplaçaient mes fesses, mon dos ma tête, mais en étiraient seulement la peau.

Les produits qu’on avait insérés dans mon anus commençaient à chauffer tout mon conduit, me rappelant les sensations de la veille, mais en moins douloureux. Lady Christine, jouant à nouveau de la télécommande, m’excitait exactement à la même fréquence que l’homme des îles. Dès que je sentais le bout de son gland au bout de ce conduit élargi, une excitation de ma cage, me poussait à vouloir crier encore, plus fort, interdit que j’étais de prononcer un simple mot. Même un mot de sauvegarde que je ne possédais même pas !

D’un commun accord, ils m’attaquèrent en phase, me rentrant leur bite en même temps. C’était plus douloureux, mais aussi plus excitant, comme me le faisait remarquer Lassie qui avait définitivement pris le contrôle de mon corps.

D’un coup sans que je ne m’y attende, le roux éjacula sa semence. Le liquide tiède emplit ma bouche en plusieurs vagues. Sa bite continuait ses mouvements, m’empêchant d’avaler ou de recracher. Nul doute que je savais ce que les maîtresses voudraient. Lady Christine monta d’un cran les vibrations, m’emmenant à l’extase. Même l’excitation anale me donnait du plaisir. Du liquide s’écoula de mon sexe.

  • Alors, ma petite pute, tu aimes ? me demanda Lady Christine, me tirant sur les couettes, pour poursuivre une fellation qui s’achevait. Le domestique se retira, me laissant la bouche pleine.

  • Montre-moi ? demanda Ladyscar alors que les assauts par l’arrière se poursuivaient.

J’ouvris la bouche. Il avait selon moi déversé bien plus de liquide que je ne déversais du tant de mes nombreuses branlettes, peut-être justement trop nombreuses. Que serait ma prochaine cuvée avec ces deux semaines d’abstinence, quand cette cage me sera enlevée ? Cela m’arrivera aussi ? Je m’imaginais déjà, avant de retrouver Lydia, sortir le dernier des douches après le sport ou, au contraire, me précipiter dans les toilettes, pour répondre hebdomadairement à mon besoin, en cachette de ma maîtresse et de ses espionnes.

Pendant ce temps, je sentais mollir derrière moi la queue de l’antillais qui achevait son travail. En attendant, j’étais là, toujours la bouche ouverte, le sperme d’un autre homme couvrant ma langue, observé par une quinzaine de personnes soumis, valet et dominatrices. Elles voyaient que je m’en impatientais et en abusaient.

  • C’est vrai qu’elle a l’air d’aimer cela, le sperme, dit Tata Marguerite. Cela fait longtemps que tes valets n’ont pas profité d’une ado aussi rebelle et sexy comme elle ?

  • Jamais, je n’en ai eu une comme celle-là, répondit Maîtresse Diane. Que veux-tu faire ?

  • Je me disais que pendant que ton latino lui défonce le cul avec son braquemart, cela serait amusant que les autres puissent aussi s’occuper, répondit-elle avec un sourire qui n’augurerait rien que je ne voulusse souffrir.

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